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Si tu te retrouves ici, c'est que tu as un défi à relever.

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Objectif à atteindre ?

Difficulté à mettre tes limites ou faire des choix?

Triste ou triste sans savoir pourquoi ?

Sentiment de vide ?

Difficulté relationnelle ?

Difficulté avec un enfant ?

Stressé·e?

Ton couple est sur la corde raide?

T’aimerais te mieux connaître ou te développer personnellement?

Tu te demandes par où commencer?

Tu sais juste pas ce qui marche pas. 

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Écris-moi, texte-moi ou appelle-moi, je te jure que je suis facile à jaser. 

(581) 998-5662

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Tu as le pouvoir d’être, de faire et d’avoir tout ce que tu veux. Ma vocation, c’est de te montrer comment faire et te guider vers ta ligne d’arrivée.

Que ce soit à travers le coaching en programmation neurolinguistique (PNL) ou par la formation Process Communication Model (PCM), je vais te guider vers l’atteinte de ton objectif.

Tu as le pouvoir d’être, de faire et d’avoir tout ce que tu veux. Ma vocation, c’est de te montrer comment faire et te guider vers ta ligne d’arrivée.

Que ce soit à travers le coaching en programmation neurolinguistique (PNL) ou par la formation Process Communication Model (PCM), je vais te guider vers l’atteinte de ton objectif.

Quelle est cette méthode? 

Process Communication Model (PCM) est le premier outil de décodage des interactions humaines.

Le Dr. Taibi Kahler a découvert que le comportement sous stress peut être prédit et évité. En collaboration avec la NASA, il a élaboré puis validé une structure de personnalité. Elle est devenue un outil unique au monde en matière de compréhension et de gestion de des relations humaines.➞ Lorsqu'un pilote d'avion navigue à l'aveuglette en raison de la température, il va se fier à ses instruments pour s'orienter. PCM agit de la même façon. Il vient combler nos angles morts en matière de relation humaine. Il sert d'instrument de bord pour nous guider dans les pires tempêtes comme dans les temps plus cléments.                                                                        
Process Communication Model (PCM) est le premier outil de décodage des interactions humaines.

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Quelle est cette méthode? 

Process Communication Model ou PCM est le premier outil de décodage des interactions humaines.

Le Dr. Taibi Kahler a découvert que le comportement sous stress peut être prédit et évité. En collaboration avec la NASA, il a élaboré puis validé une Structure de Personnalité. Elle est devenu un outil unique au monde en matière de compréhension et de gestion de des relations humaines.➞ Lorsqu'un pilote d'avion navigue à l'aveuglette en raison de la température, il va se fier à ses instruments pour s'orienter. PCM agit de la même façon. Il vient combler nos angles morts en matière de relation humaine. Il sert d'instrument de bord pour nous guider dans les pires tempêtes comme dans les temps cléments. 
Process Communication Model ou PCM est le premier outil de décodage des interactions humaines.
 

Témoignages

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Audrey Dion
Spécialiste certifiée en prédiction du comportement humain et communication interpersonnelle.
Pourquoi je suis coach ➔
Pourquoi je suis coach?
Je suis coach parce que j’ai une envie profonde de te faire expérimenter qu’être heureux·se, peu importe ce qui t'empêche de l'être, c’est possible et simple. Parce que de te voir avancer dans le mieux-être un peu plus à chaque rencontre m’apporte quelque chose à moi aussi. Ton sourire de plus en plus présent est une drogue pour moi. Ce témoignage « live » de ta réussite me laisse dans un état de gratitude incroyable. Je flotte littéralement sur un nuage. Et ça me donne envie de recommencer, d’aller plus loin, de t’emmener là où tu veux aboutir, d’atteindre ton objectif et c’est ce qu’on fait ensemble. Dans la simplicité, de façon concrète, mesurable, observable et surtout, plaisante. J’adore tout simplement ce que je fais. T’écouter pour bien comprendre ta réalité, te connaître dans ton unicité, tracer le chemin avec toi et, un pas à la fois, te guider vers ta destination. Avoue que c’est cool! C’est un voyage à chaque fois. Elle est là ma passion, ma motivation, ma raison. Elle se trouve dans ce que j’expérimente à travers toi. Et plus j’en mange, plus j’en redemande.
Connaître mon histoire ➞
Mon histoire
À 20 ans, j’étais assise devant ma médecin, Dre Gilbert. Alors qu’elle me prédisait mon avenir. Mon souffle a coupé net. Mon corps s’est raidi comme une barre pendant que mon coeur jouait du tambour dans ma poitrine. Si je m’étais levée à ce moment-là, j’aurais été capable de courir sans même m’essouffler tellement il y avait de l’action dans mon corps. Je ne me souviens même pas d’avoir cligné des yeux tellement j’étais pétrifiée. Dans les mots qu’elle venait de prononcer il y avait: hospitalisation, danger de mourir et… PSYCHIATRIE. Je capotais. J’ai sauté dans le wagon de ma première pensée et passé en vitesse TGV dans l’escalade de scénario catastrophe. Ma vie allait s’écrouler. Pourtant je voulais m’en sortir, mais pas au point de payer ce prix-là.
Suite ➞
Suite
La honte de dévoiler à mes proches ce que je vivais. La crainte que mes proches veuillent m’aider avec leurs mots maladroits. Peur des malaises et de tout ce que ma situation allait créer autour de moi. Les bla-bla derrière mon dos : « hey, tu sais pas quoi? Tsé Audrey… » Personne n’allait plus jamais me percevoir de la même manière. Sans parler du temps que mon rétablissement allait prendre. Les douleurs émotionnelles, parler de moi, de mes secrets…me faire juger. Me sentir conne, faible. Comment éviter ça? Alors j’ai protesté tellement fort pour ne pas être hospitalisée sur-le-champ que Dr Gilbert a décidé de m’accorder une chance: deux semaines. Pour prouver que j’étais capable d’apporter des changements dans ma vie. Avec évidemment une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Si au terme des deux semaines, elle ne voyait pas de changement, elle me faisait hospitaliser à l’aide de la loi P38. Tsé la loi qui permet d’hospitaliser quelqu’un de force et sans son consentement. Ark.
Suite ➞
Je suis donc sortie de son bureau, un diagnostic de trouble alimentaire et de trouble d’anxiété généralisé en poche. Bref, équipée pour la gloire. En sortant du CLSC, j’étais déterminée. La seule solution possible pour me sortir de là… le suicide. Pour vrai, deux semaines! Impossible. C’est impressionnant à quel point cette option semble facile quand rien ne va plus. Le gouffre devant moi me semblait infranchissable. Tout ce qu’il y avait en moi c’était une grande fatigue, de la tristesse, du désespoir, de la perte de sens et l’incontournable sentiment d’échec. En marchant, j’énumérais les moyens que j’allais prendre… où… quand… comment? J’étais tellement dans ma tête que je suis tombée en mode automatique. Tsé comme quand on part d’un point A mais qu’on ne se souvient pas comment on est arrivé à B. Tu t’attends surement à ce que je te raconte le moment magique ou je suis tombée par hasard sur un endroit enchanteur avec des arbres, des fleurs et des papillons multicolores. Qu’en m’assoyant au pied d’un arbre magnifique, dans l’herbe grasse et verte j’ai eu une illumination qui a tout changé. Ben non. Je suis effectivement tombée sur un endroit.
Suite ➞
Un stationnement abandonné avec des touffes de mauvaises herbes qui essayaient de reprendre le contrôle de la place. Autour, il y avait des bâtiments dégarnis, jaunis et vieux, style Bougon. En guise d’arbre magique, il y avait des gros blocs de béton pour empêcher les voitures d’aller se stationner là. Voilà mon endroit magique. Un stationnement sec, poussiéreux et crasseux. Pourquoi je me suis arrêtée là? Honnêtement je ne le sais pas. J’imagine que ça «fittait» avec mon humeur vide. Bref. Je me suis assis sur le bloc de béton. Celui du milieu si je me rappelle bien. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là. Par contre, j’ai un souvenir clair comme de l’eau de roche de ce que j’ai pensé juste avant de prendre la décision la plus importante de ma vie. Celle qui me permet de te raconter cette histoire-là aujourd’hui, qui est à l’origine du métier que j’exerce. La décision qui a bouleversé mon existence pendant des années. À travers mon incessante réflexion, une pensée a émergé. Je le dis comme ça parce que c’est vraiment comme ça que je l’ai senti.
Suite ➞
Je me suis fait la réflexion suivante: en ce moment je n’ai absolument plus rien à perdre alors me suicider est la meilleure option. Mais vu que je n’ai plus rien à perdre, je n’ai rien à perdre à essayer de m’en sortir. Ça ne peut pas être pire, je suis déjà dans le trou. J’ai à ce moment précis, développer la force du : « ouin, pis? ». Les gens allaient savoir. Ouin, pis? J’allais devenir une honte. Ouin pis? Les gens allaient parler de moi. Ouin pis? C’est juste que cette indifférence-là a le dos large, je ne pouvais pas penser m’en sortir « ad vitam aeternam » avec ça. Alors j’ai signé un contrat avec moi même. Je me suis donné trois mois pour essayer de me rétablir. Dans ces trois mois-là, j’allais prendre ma vie et la remettre entre les mains de purs inconnus. Mon pouvoir d’agir, mes décisions et mes comportements allaient m’être dictés par une psychologue, une nutritionniste et une médecin. Dans les notes de bas de page de mon contrat, écris en très petit, était inscrit qu’à l’échéance de mon essai, si aucun changement n’était survenu, le suicide serait mon option. Ça a l’air facile décrit comme ça. Mais ces trois mois-là ont été un pur calvaire. J’ai sauté en plein milieu du gouffre. Je me suis éclatée la face au fond, ça a fait mal. Je me suis relevée. J’ai regardé la paroi, pris un grand respire et posé ma main sur une prise. Cette prise-là était la psychologue qui a accepté mon suivi.
Suite ➞
Fin
J’ai commencé l’ascension et à chaque prise, chaque manque de force, chaque glissement, elle était là. Elle m’a fait cadeau d’une chose pourtant bénigne et simple. Une considération authentique teintée d’une réelle envie de m’aider. Elle m’a fait sentir que j’avais de la valeur à ses yeux. Je me suis accrochée à elle comme on s’accroche à une bouée. Les mois ont passé, les années. Et même si nos rencontres se sont terminées et que j’ai atteint le haut de la paroi, elle reste un ancrage puissant dans ma vie aujourd’hui. Je n’ai jamais arrêté mon élan de cheminement à la suite de tout ça. Lecture, développement personnel, formations +++ J’ai terminé ma 13e année de carrière comme intervenante et gestionnaire en santé mentale pour débuter comme Coach certifiée en programmation neurolinguistique et PCM. Je pratique depuis maintenant 5 ans. J’ai un bagage rempli d’expérience et d’outils qui combinent plusieurs années de pratique, de recherche et de formation. Je suis coach perso parce que j’ai envie de t’offrir ce que ma thérapeute m’a donné: une considération authentique teintée d’une réelle envie d’aider. Y’a une chose que j’ai comprise dans la vie. C’est que tu as tout en toi. Tout le monde dit ça, je le sais. Mais mon but à moi est de te montrer précisément comment aller le chercher.
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Audrey Dion
Experte en comportement humain et communication interpersonnelle.
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Pourquoi je suis coach?
Je suis coach parce que j’ai une envie profonde de te faire expérimenter, qu’être heureux·se, peu importe ce qui te retient en ce moment, c’est possible et simple. Parce que de te voir avancer dans le mieux-être un peu plus à chaque rencontre m’apporte quelque chose à moi aussi. Ton sourire, de plus en plus présent, est une drogue pour moi. Ce témoignage « live » de ta réussite me laisse dans un état de gratitude incroyable. Je flotte littéralement sur un nuage. Et ça me donne envie de recommencer, d’aller plus loin, de t’emmener là où tu veux aboutir, à l’atteinte de ton objectif et c’est ce qu’on fait ensemble. Dans la simplicité, de façon concrète, mesurable, observable et surtout, plaisante. J’adore tout simplement ce que je fais. T’écouter pour bien comprendre ta réalité, te connaître dans ton unicité, tracer le chemin avec toi et un pas à la fois, te guider vers ta destination. Avoue que c’est cool! C’est un voyage à chaque fois. Elle est là ma passion, ma motivation, ma raison. Elle se trouve dans ce que j’expérimente à travers toi. Et plus j’en mange, plus j’en redemande.
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Mon histoire
À 20 ans. J’étais assise devant ma médecin, Dre Gilbert. Alors qu’elle me prédisait mon avenir. Mon souffle a coupé net. Mon corps s’est raidi comme une barre pendant que mon coeur jouait du tambour dans ma poitrine. Si je m’étais levée à ce moment-là, j’aurais été capable de courir sans même m’essouffler tellement il y avait de l’action dans mon corps. Je ne me souviens même pas d’avoir cligné des yeux tellement j’étais pétrifiée. Dans les mots qu’elle venait de prononcer il y avait: hospitalisation, danger de mourir et… PSYCHIATRIE. Je capotais. J’ai sauté dans le wagon de ma première pensée et passé en vitesse TGV dans l’escalade de scénario catastrophe. Ma vie allait s’écrouler. Pourtant je voulais m’en sortir, mais pas au point de payer ce prix-là.
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La honte de dévoiler à mes proches ce que je vivais. La crainte que mes proches veuillent m’aider avec leurs mots maladroitement placés. Peur des malaises et de tout ce que ma situation allait refléter sur moi. Les bla-bla derrière mon dos : « hey, tu sais pas quoi? Tsé Audrey… » Personne n’allait plus jamais me percevoir de la même manière. Sans parler du temps que mon rétablissement allait prendre. Les douleurs émotionnelles, parler de moi, de mes secrets…me faire juger. Me sentir conne, faible. Comment éviter ça? Alors j’ai protesté tellement fort pour ne pas être hospitalisée sur-le-champ que Dr Gilbert a décidé de m’accorder une chance: 2 semaines. Pour prouver que j’étais capable d’apporter des changements dans ma vie. Avec évidemment une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Si au terme des 2 semaines, elle ne voyait pas de changement, elle me faisait hospitaliser à l’aide de la loi P38. Tsé la loi qui permet d’hospitaliser quelqu’un de force et sans son consentement. Ark.
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Je suis donc sortie de son bureau, un diagnostic de trouble alimentaire et de trouble d’anxiété généralisé en poche. Bref, équipée pour la gloire. En sortant du CLSC, j’étais déterminée. La seule solution possible pour me sortir de là…le suicide. Pour vrai, 2 semaines! Impossible. C’est impressionnant à quel point cette option semble facile quand rien ne va plus. Le gouffre devant moi me semblait infranchissable. Tout ce qu’il y avait en moi c’était une grande fatigue, de la tristesse, du désespoir, de la perte de sens et l’incontournable sentiment d’échec. En marchant, j’énumérais les moyens que j’allais prendre…où…quand…comment? J’étais tellement dans ma tête que je suis tombée en mode automatique. Tsé comme quand on part d’un point A mais qu’on ne se souvient pas comment on est arrivé à B. Tu t’attends surement à ce que je te raconte le moment magique ou je suis tombée par hasard sur un endroit enchanteur avec des arbres, des fleurs et des papillons multicolores.
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Qu’en m’assoyant au pied d’un arbre magnifique, dans l’herbe grasse et verte j’ai eu une illumination qui a tout changé. Ben non. Je suis effectivement tombée sur un endroit. Un stationnement abandonné avec des touffes de mauvaises herbes qui essayaient de reprendre le contrôle de la place. Autour, il y avait des bâtiments dégarnis, jaunis et vieux, style Bougon. En guise d’arbre magique, il y avait des gros blocs de béton pour empêcher les voitures d’aller se stationner là. Voilà mon endroit magique. Un stationnement sec, poussiéreux et crasseux. Pourquoi je me suis arrêtée là? Honnêtement je ne le sais pas. J’imagine que ça «fittait» avec mon humeur vide. Bref. Je me suis assis sur le bloc de béton. Celui du milieu si je me rappelle bien. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là. Par contre j’ai un souvenir clair comme de l’eau de roche de ce que j’ai pensé juste avant de prendre la décision la plus importante de ma vie.
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Je me suis fait la réflexion suivante: En ce moment je n’ai absolument plus rien à perdre alors me suicider est la meilleure option. Mais vu que je n’ai plus rien à perdre, je n’ai rien à perdre à essayer de m’en sortir. Ça ne peut pas être pire, je suis déjà dans le trou. J’ai à ce moment précis, développer la force du : « ouin, pis? ». Les gens allaient savoir. Ouin, pis? J’allais devenir une honte. Ouin pis? Les gens allaient parler de moi. Ouin pis? C’est juste que cette indifférence-là a le dos large, je ne pouvais pas penser m’en sortir « ad vitam aeternam » avec ça. Alors j’ai signé un contrat avec moi même. Je me suis donné 3 mois pour essayer de me rétablir. Dans ces 3 mois-là, j’allais prendre ma vie et la remettre à de purs inconnus. Mon pouvoir d’agir, mes décisions et mes comportements allaient m’être dictés par une psychologue, une nutritionniste et une médecin.
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Dans les notes de bas de page de mon contrat, écris en très petit, était inscrit qu’à l’échéance de mon essai, si aucun changement n’était advenu, le suicide serait mon option. Ça a l’air facile décrit comme ça. Mais ces 3 mois-là ont été un pur calvaire. J’ai sauté en plein milieu du gouffre. Je me suis éclatée la face au fond, ça a fait mal. Je me suis relevée. J’ai regardé la paroi, pris un grand respire et posé ma main sur une prise. Cette prise là état la psychologue qui a accepté mon suivi. J’ai commencé l’ascension et à chaque prise, chaque manque de force, chaque glissement, elle était là. Elle m’a fait cadeau d’une chose pourtant bénigne et simple. Une considération authentique teintée d’une réelle envie de m’aider. Elle m’a fait sentir que j’avais de la valeur à ses yeux. Je me suis accrochée à elle comme on s’accroche à une bouée. Les mois ont passé, les années. Et même si nos rencontres se sont terminées et que j’ai atteint le haut de la paroi, elle reste un ancrage puissant dans ma vie aujourd’hui.
Fin
Je n’ai jamais arrêté mon élan de cheminement suite à tout ça. Lecture, développement personnel, formations +++ J’ai terminé ma 13e année de carrière comme intervenante et gestionnaire des interventions en santé mentale pour débuter comme Coach certifiée en programmation neurolinguistique et PCM. Je pratique depuis maintenant 5 ans. J’ai un bagage rempli d’expérience et d’outils qui combinent plusieurs années de pratique, de recherche et de formation. Je suis coach perso parce que j’ai envie de t’offrir ce que ma thérapeute m’a donné: une considération authentique teintée d’une réelle envie d’aider. Y’a une chose que j’ai compris dans la vie. C’est que as tout en toi. Tout le monde dit ça, je le sais. Mais mon but à moi est de te montrer précisément quoi et où.
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